Des cas cliniques en vidéo et quiz, pensés pour votre pratique quotidienne tout en élargissant votre champ de compétences

Des formations et actions DPC pour sécuriser la prise en charge de vos patients et renforcer vos compétences relationnelles

Améliorer vos connaissances pour mieux conseiller au comptoir et développer l'activité officinale

Développer votre activité grâce à des formations pensées pour le titulaire et toute l’équipe officinale

+30 thèmes de formation pour valider vos obligations DPC, mieux prendre en charge vos patients et côter vos actes plus sereinement

+30 thèmes de formation pour valider vos obligations DPC et mieux prendre en charge vos patients

Gagnez en autonomie dans la gestion de vos projets, enrichissez-vous de retours d’expérience et nouveaux outils pour gérer votre équipe de soins

Dans ce webinaire, la Dr Sarah Rebert, médecin généraliste, vous décryptera quatre actualités médicales majeures pour une meilleure application en cabinet : les recommandations de la HAS sur l’angine, insistant sur le passage à la clarithromycine en cas d’allergie à la pénicilline au lieu de l’azithromycine, particulièrement pertinent en période épidémique ; les nouvelles recommandations antibiotiques pour la pneumopathie aiguë communautaire, avec une réduction notable de la durée de traitement de 7 à 5 jours ; les bénéfices de l’acupuncture dans la sciatique, confirmés par une étude récente dans le JAMA ; et le communiqué de l’ANSM sur les risques neurodéveloppementaux des antiépileptiques pris par les futurs parents, avec un focus inédit sur les hommes. Vous pourrez poser toutes vos questions en direct lors du webinaire.

Visionnez notre webinaire "Nouvelle reco HAS pneumopathie et angine, Acupuncture et sciatique, Vigilance avec les anti épileptiques... 4 actualités médicales décryptées. Retrouvez aussi des dizaines de ressources gratuites pour médecins.

4 actualités médicales du début d'année 2025 décryptées - Regardez le replay gratuit | Santé Académie

Docteure Sarah Rebert est médecin généraliste exerçant en cabinet libéral à Paris

Docteure

Formation pour les médecins sur les antibiotiques. Cette formation est disponible en e-learning : à suivre depuis chez vous à votre rythme, avec de nombreuses vidéos, quiz et ressources à télécharger. Elle est également disponible en présentiel pour les établissements.

La variabilité génétique de toutes les espèces de pathogènes fait spontanément apparaître des individus résistants à tel ou tel antibiotique. L'exposition d’une colonie de bactéries à un antibiotique tue les bactéries non résistantes et génère une pression de sélection favorable aux souches résistantes. Ainsi après quelques générations, la quasi intégralité de la colonie est composée de souches résistantes à l’antibiotique auquel elle a été exposée. Plus on utilise un antibiotique, plus on augmente la pression sélective en faveur des bactéries qui lui sont résistantes et plus on accélère la diffusion de cette résistance dans la population de bactéries, rendant l’antibiotique de moins en moins souvent efficace. Le développement de la résistance des pathogènes aux antibiotiques est un problème alarmant. C’est un enjeu de santé publique majeur avec 125 000 infections par an en France à bactéries résistantes et 5 500 décès liés aux infections à bactéries multirésistantes. Dans le monde, c’est l’un des grands enjeux futurs en matière de santé avec des projections estimant jusqu’à 10 millions le nombre de décès associés à l’antibiorésistance à l’horizon 2050. Malgré ce constat, les antibiotiques sont encore largement sur-prescrits en France. On estime ainsi que 30% à 50% des prescriptions sont inutiles ou inappropriées et la réduction du volume de prescription est encore insuffisante. La France est l’un des pays qui utilise le plus d’antibiotiques en Europe : 4ème plus gros consommateur en médecine de ville (80% de la prescription d’antibiotiques en France) en 2018 à 20% au-dessus de la moyenne européenne. Les objectifs globaux de cette formation sont de permettre aux praticiens d’améliorer la pertinence de leurs prescriptions d’antibiotiques pour en réduire le volume et de les impliquer dans une démarche de prévention des infections. Elle s’inscrit dans les stratégies gouvernementales en santé et vise à diffuser les recommandations de bonnes pratiques françaises et internationales dans un format accessible et concret, au plus proche de la pratique des soignants.

Perso

Prévention de l’antibiorésistance et bon usage des antibiotiques  en médecine générale

Praticienne hospitalière à l’Hôpital Bichat (APHP), la Professeure Solen Kernéis enseigne à l'Université Paris Cité. Elle est à la fois infectiologue et chercheuse en épidémiologie et modélisation de l’échappement aux antibactériens à l’Institut Pasteur. Enfin, elle est coordinatrice du groupe de travail “Bon usage ATB” de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française).

Professeure

Médecin généraliste et Professeure Associée de Médecine Générale, le Pr Pauline Jeanmougin enseigne à l’Université de Nantes et exerce en libéral. Elle a notamment créé Antibioclic, un outil d’aide à la décision thérapeutique visant à permettre une antibiothérapie rationnelle en soins primaires, d’après les recommandations des sociétés savantes.

Infectiologue, la Pr Caroline Charlier- Woerther enseigne à l’Université Paris Cité et exerce en tant que praticienne hospitalière à l’Hôpital Cochin (AP-HP). Elle est responsable du sujet des maladies infectieuses à la faculté de médecine et est également membre du comité pédagogique du DIU Stratégies thérapeutiques et Préventives en Pathologie Infectieuse à l’université Paris Descartes. Par ailleurs, elle effectue d’important travaux de recherche sur Listeria au centre Référence et centre de collaboration OMS de l’Institut Pasteur et de l’Inserm. Elle est l’auteure de pusieurs publications sur le sujet : “Neonatal listeriosis presentation and outcome: a prospective study of 189 cases.” - Clinical infectious diseases en avril 2021 et “Prolonged maternal shedding and maternal-fetal transmission of measles virus.” - Clinical infectious diseases : an official publication of the Infectious Diseases Society of America en 2020.

Médecin et référente infectiologue au département de médecine interne de l’Institut Mutualiste Montsouris à Paris, le Dr Clémence Richaud cumule depuis plusieurs années une thèse d’exercice au sujet d’une maladie infectieuse (Spondylodiscites à Candida), trois DU/DIU sur des sujets d’infectiologie et d’antibiothérapie et un DESC de maladies infectieuses qui en font une réelle experte du sujet. Elle enseigne l’UE d’Infectiologie et l’ED de Maladies infectieuses à la faculté de Médecine de Paris Descartes. Très active dans la recherche scientifique, ses dernières publications portent sur  “Myocarditis Revealing COVID-19 Infection in a Young Patient” - European Heart Journal - Cardiovascular Imaging en 2020 et « Prescribers’ experience and opinions on antimicrobial stewardship programmes in hospitals: a French nationwide survey” - JAC en 2019.

Médecin généraliste, le Dr Willy Boutfol exerce au sein d’une maison de santé pluri-professionnelle qui regroupe 40 professionnels de santé. Il a complété son expérience par une thèse sur le sujet de la prise en charge des infections urinaires par les médecins généralistes de ville et d’un Diplôme Inter Universitaire (DIU) de Thérapeutique anti infectieuse. Il est membre de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française) et du Centre Régional des Antibiotiques au CHU d’Angers.

Docteur

Médecin généraliste et urgentiste engagé pour l’innovation médicale dans les territoires depuis 25 ans, le Dr Ducrocq exerce à la fois en maison de santé pluridisciplinaire à Bohain-en-Vermandois, commune de 5 000 habitants, et à l’Hôpital de Saint-Quentin. Il enseigne depuis plusieurs années à l’Université de Picardie Jules Verne. Co-fondateur et président de la CPTS Nord-Aisne, ce projet, né en 2020 pour faire face à la crise Covid-19 et améliorer la coordination des soins, a rassemblé plus de 90% des professionnels de santé du territoire.

Formation en programme intégré en Vidéo pour Médecin sur les antibiotiques. À suivre depuis chez vous à votre rythme, elle se compose de nombreuses vidéos, quiz et ressources à télécharger.

Formation Bon usage des antibiotiques et prévention de l’apparition des résistances bactériennes | Santé Académie

La variabilité génétique de toutes les espèces de pathogènes fait spontanément apparaître des individus résistants à tel ou tel antibiotique. L'exposition d’une colonie de bactéries à un antibiotique tue les bactéries non résistantes et génère une pression de sélection favorable aux souches résistantes. Ainsi après quelques générations, la quasi intégralité de la colonie est composée de souches résistantes à l’antibiotique auquel elle a été exposée. Plus on utilise un antibiotique, plus on augmente la pression sélective en faveur des bactéries qui lui sont résistantes et plus on accélère la diffusion de cette résistance dans la population de bactéries, rendant l’antibiotique de moins en moins souvent efficace. Le développement de la résistance des pathogènes aux antibiotiques est un problème alarmant. C’est un enjeu de santé publique majeur avec 125 000 infections par an en France à bactéries résistantes et 5 500 décès liés aux infections à bactéries multirésistantes. Dans le monde, c’est l’un des grands enjeux futurs en matière de santé avec des projections estimant jusqu’à 10 millions le nombre de décès associés à l’antibiorésistance à l’horizon 2050.Malgré ce constat, les antibiotiques sont encore largement sur-prescrits en France. On estime ainsi que 30% à 50% des prescriptions sont inutiles ou inappropriées et la réduction du volume de prescription est encore insuffisante. La France est l’un des pays qui utilise le plus d’antibiotiques en Europe : 4ème plus gros consommateur en médecine de ville (80% de la prescription d’antibiotiques en France) en 2018 à 20% au-dessus de la moyenne européenne. L'objectif de cette action est de permettre aux praticiens d’améliorer la pertinence de leurs prescriptions d’antibiotiques pour en réduire le volume et de les impliquer dans une démarche de prévention des infections.

B2B générique

Prévention de l’antibiorésistance et bon usage des antibiotiques

La variabilité génétique de toutes les espèces de pathogènes fait spontanément apparaître des individus résistants à tel ou tel antibiotique. L'exposition d’une colonie de bactéries à un antibiotique tue les bactéries non résistantes et génère une pression de sélection favorable aux souches résistantes. Ainsi après quelques générations, la quasi intégralité de la colonie est composée de souches résistantes à l’antibiotique auquel elle a été exposée.
Plus on utilise un antibiotique, plus on augmente la pression sélective en faveur des bactéries qui lui sont résistantes et plus on accélère la diffusion de cette résistance dans la population de bactéries, rendant l’antibiotique de moins en moins souvent efficace.
Le développement de la résistance des pathogènes aux antibiotiques est un problème alarmant. C’est un enjeu de santé publique majeur avec 125 000 infections par an en France à bactéries résistantes et 5 500 décès liés aux infections à bactéries multirésistantes. Dans le monde, c’est l’un des grands enjeux futurs en matière de santé avec des projections estimant jusqu’à 10 millions le nombre de décès associés à l’antibiorésistance à l’horizon 2050.Malgré ce constat, les antibiotiques sont encore largement sur-prescrits en France. On estime ainsi que 30% à 50% des prescriptions sont inutiles ou inappropriées et la réduction du volume de prescription est encore insuffisante. La France est l’un des pays qui utilise le plus d’antibiotiques en Europe : 4ème plus gros consommateur en médecine de ville (80% de la prescription d’antibiotiques en France) en 2018 à 20% au-dessus de la moyenne européenne.Les objectifs globaux de cette action sont de permettre aux praticiens d’améliorer la pertinence de leurs prescriptions d’antibiotiques pour en réduire le volume et de les impliquer dans une démarche de prévention des infections.

Demo

Bon usage des antibiotiques et prévention de l’apparition des résistances bactériennes

Formation DPC pour Médecin Généraliste en Elearning sur la Gynécologie. À suivre depuis chez vous à votre rythme, elle se compose de nombreuses vidéos, quiz et ressources à télécharger.

Trois professions de santé peuvent assurer le suivi gynécologique : les médecins spécialistes en gynécologie ou gynécologie obstétrique, les sage-femmes et les médecins généralistes. Environ un tiers des femmes confient leur suivi gynécologique au médecin généraliste qui doit donc pouvoir être en mesure de prodiguer des soins et une surveillance adaptés aux patientes et pouvoir orienter les femmes le cas échéant vers un spécialiste. Cette formation cible le suivi gynécologique dans toutes les étapes de la vie des femmes : le suivi des cycles, la contraception, le désir et suivi de grossesse ainsi que la ménopause.

Le suivi gynécologique en médecine générale

Gynécologue-Obstétricienne, le Dr Tesniere exerce dans son cabinet du 14ème arrondissement de Paris depuis 2009, après un internat dans les services de gynécologie-obstétrique de l'AP-HP. Elle a par la suite complété sa formation de DU de colposcopie (2001), médecine périnatale (2004) ainsi qu’échographie gynéco-obstérique et sénologie (2007). Attachée à l’Hôpital Cochin de Port-Royal de Paris, elle a notamment suivi des patients séropositives pendant de nombreuses années. Elle est également co-auteur de "Intrapartum fetal monitoring: old or new techniques" (Avec les docteurs B. Carbonne et K.M. Fekih) dans le Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la reproduction (2003).

Gynécologue-Obstétricienne libérale, le Dr Mansour est diplômée en Gynécologie-Obstétrique de l’Université Paris-Descartes, qu’elle a complété par un DUI en échographies obstétricales et pelviennes et un DUI en médecine fœtale. Elle exerce aujourd’hui dans le 14ème arrondissement de Paris depuis 2012. Impliquée dans la qualité de prise en soin de ses patientes, elle est membre du Réseau de santé de périnatalité parisien (RSPP) et du Réseau Sein. Elle est également médecin attaché de l’Hôpital Cochin de Port-Royal à Paris.

Gynécologue-Obstétricienne, le Dr Elodie Arnaud exerce en cabinet libéral dans un Centre médical de la femme et de l'enfant, à Paris. En parallèle, elle est attachée à la maternité Robert Debré (consultations et chirurgie) à Paris. Diplômée en Gynécologie obstétrique en 2007, elle complète son expertise avec un Diplôme Universitaire en Colposcopie (2005) et en Médecine Périnatale (2004). Par ailleurs, elle est l’auteur de plusieurs publications en lien avec les thérapeutiques utilisées pendant la grossesse.

Docteure Carole BERNARD est médecin généraliste - MSU au sein de la Maison de Santé Jean Jaurès à Lyon, qu'elle a co-fondée en 2016. Elle est élue locale à l'URPS du Rhône. Elle pratique la médecine générale depuis 2013, avec une grosse proportion de pédiatrie et gynécologie.

Nouvelle reco HAS pneumopathie et angine, Acupuncture et sciatique, Vigilance avec les anti épileptiques... 4 actualités médicales décryptées #5

Les points clés

Formations immersives en présentiel, en e-learning et en classes virtuelles

100% pris en charge DPC, FIF-PL, FAF-PM et indemnisées

Validation des obligations triennales de DPC

Discussion directe avec les formateurs et accès à notre communauté

Newsletter